• Petite dernière,  coucou à mon père ^_^


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  • Une autre de la bête sauvage

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  • Un peu de nature au milieu de ces buildings...

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  • Dimanche matin, j'ouvre les volets... Changement de décor, bonjour les vaches!

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  • Time to flight ...


    Seattle, 10am, voiture toujours aussi déglinguée de Megan (je vous la décrierait bientôt, c'est vraiment un mythe !) qui s'est encore gentillement proposée de m'amener à l'aéroport, ça m'enlève une épine du pied et j'économise quelques dollars...


    Aéroport blindé, fêtes de Noël obligent.


    Direction Amsterdam dans un premier temps, 10h de vol, puis un peu plus d'une heure pour la correspondance vers Paris.


    Récupération du billet, enregistrement de l'énorme valise, trop lourde de 25 dollars évidemment, pas le choix, il faut payer, ou carioller tout cet extra bordel dans l'avion. Non merci.


    Sécurité, contrôle des passeports, et vas-y que j'enlève mes godasses et mon pulls, ça devient presque une routine maintenant. Tiens y'a du français dans l'air, ça sent la maison J...


    Je meurs de faim, décide d'attraper un number 2 chez Burger King, mangé en 2 minutes vu que l'embarquement démarre pile poil quand je le paye ...


    Siège 15D, j'ai mal au ventre, je dois puer la frite, mon siège est au beau milieu de l'avion, ni couloir, ni fenêtre, entre 2 mecs qui répondent à peine à mon good morning amical. Tant pis pour la vue, tant pis aussi pour la discussion, ça va être long je le sens...


    Fermeture des portes, décollage, turbulence, 4 films dans la gueule, 2 repas indescriptibles, contractures dans le coup, pas réussi à dormir.


    Mon voisin de droite est russe, il doit avoir 50 ans, on papotte un peu, il a un anglais dur à comprendre et je suis crevé, j'hoche la tête de temps en tête et ça à l'air de marcher.


    9h de vol qui me laissent le temps de repenser à ces 2 dernières semaines de folie, journées de boulot à plus de 15h, un tuteur qui me donne plus de responsabilités, du coup la pression monte, je suis plus nerveux, la fatigue décuple tout ça.


    Au même moment, va savoir pourquoi, des sujets sensibles reviennent, des instants (excès ?) de franchise de ma part, parfois de colère, un dénouement qui laisse un arrière goût de déception, d'amertume. J'en suis sincèrement désolé.


    J'ai besoin de vacances, besoin de dormir, besoin d'oublier un peu, j'ai besoin d'une soirée bien arrosée entre bretons, j'ai besoin d'aller sur ces falaises de Camaret me sentir vivre au milieu d'une tempête, j'ai besoin de beurre salé étalé sur une crêpe Even trempée dans le chocolat (trop) chaud de Mémé...


     


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